La reconnaissance par l’assureur du principe de sa garantie interrompt la prescription pour l’ensemble des dommages matériels et immatériels, consécutifs aux désordres.
De ce fait, cette reconnaissance de l’assureur dommages-ouvrage (DO) est générale en ce qui concerne la prescription. Il n’y a donc pas lieu dans ce cas d’opérer une distinction entre dommages matériels et dommages immatériels consécutifs.